Acadãƒâ©mie Des Sciences Belleslettres Et Arts De Lyon é‡å’ã¦ëœâ€š

Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon

Image dans Infobox.

Sceau de fifty'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon.

Histoire
Fondation


Lyon Voir et modifier les données sur Wikidata

Core
Type

Société savante Voir et modifier les données sur Wikidata

Domaine d'activité

archéologie, arts, histoire de l'fine art, histoire, littérature et sciences

Siège

Lyon (avenue Adolphe Max, 69005) Voir et modifier les données sur Wikidata

Pays

Flag of France.svg  France Voir et modifier les données sur Wikidata

Coordonnées

45° 45′ 37″ N, 4° 49′ 41″ Eastward Voir et modifier les données sur Wikidata

Langue

Français

Organisation
Membres

52 membres élus par leurs pairs [1]

Fondateurs

Claude Brossette, Laurent Dugas, Camille Falconet, Louis de Puget, Thomas Bernard Fellon (d), Antoine de Serre (d), Jean de Saint-Bonnet (d) Voir et modifier les données sur Wikidata

Président

Georges Boulon (d) (depuis ) Voir et modifier les données sur Wikidata

Affiliation

Conférence nationale des académies des sciences, lettres et arts et Comité des travaux historiques et scientifiques

Site web

academie-sbla-lyon.fr Voir et modifier les données sur Wikidata

Identifiants
SIREN

352097943 Voir et modifier les données sur Wikidata

L'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon est une société savante résultant de la fusion, en , de l'Académie des sciences et belles lettres créée en 1700 et de l'Académie des beaux-arts créée en .

Objectifs de l'institution [modifier | modifier le code]

Domaines étudiés [modifier | modifier le lawmaking]

L'académie traite toutes sortes de sujets dont l'archéologie, les arts, l'histoire, la littérature, les sciences.

Elle publie annuellement les Mémoires de 50'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon [ii] et quelques publications thématiques dont united nations Dictionnaire historique [3] qui regroupe des notices biographiques et bibliographiques sur 824 académiciens répertoriés depuis 1700. Ce dernier travail s'appuie sur les nombreux manuscrits qu'elle conserve depuis le début du XVIII e  siècle.

Arrangement et statuts [modifier | modifier le code]

L'Académie a défini, ou supprimé au fil du temps, divers types de membres [iv]  : ordinaires ou titulaires, associés, correspondants, honoraires, d'honneur, d'honneur associés, émules, libres, vétérans, émérites... Seuls les membres titulaires et titulaires émérites ont le droit de vote. Les membres sont sujets à cotisation.

En 2017, après deux siècles d'évolutions diverses, les statuts retiennent les règles suivantes [5]  :

  • la compagnie est constituée de deux classes, celle des Sciences composée de 24 académiciens, et celle des Belles-lettres et Art composée de 28 académiciens ;
  • les 52 membres ordinaires sont élus par leurs pairs au sein des membres d'autres grades, et deviennent eux-mêmes électeurs ;
  • le président est élu annuellement, alternativement dans l'une des classes. Il est assisté d'un vice-président qui lui succède l'année suivante ;
  • le bureau comporte en outre un chancelier, un trésorier, un bibliothécaire, united nations archiviste, des secrétaires des classes et leurs adjoints, les responsables des publications et du site internet.

L'académie est l'une des 33 instances de la Conférence nationale des académies des sciences, lettres et arts [6] créée en 1989.

Histoire [modifier | modifier le code]

Prémices [modifier | modifier le lawmaking]

Avant le XVIII eastward  siècle Lyon ne possédait pas d'université, et vit à plusieurs reprises ses autorités essayer de développer un lieu de civilisation dans leur ville. La précédente tentative la plus notable est un groupe nommé Athenaeum Lugdunense restitutum au XVI e  siècle, en référence à la splendeur de l'époque romaine, dont le nom deviendra la devise de la future académie [7] . United nations 2d groupe reprend l'initiative autour de Nicolas de Lange à la fin du siècle, sous le nom d'Académie de Fourvière, ou Académie angélique, sans connaître une longue vie [viii] . L'existence de ce dernier groupe reste cependant incertaine [seven] .

Fondation [modifier | modifier le lawmaking]

Laurent Dugas, cofondateur de l'Académie.

Confirmation de l'établissement de l'académie des sciences, belles lettres et arts de Lyon, 1724, sous Louis XV

Fin XVII eastward  siècle, une dizaine de Lyonnais se réunissent pour disserter des sciences et des lettres. Les noms varient légèrement selon les trois sources disponibles issues de Brossette, Pierre Dugas et Pernetti [8] , [ix]  :

  • Claude Brossette, avocat et échevin lyonnais, administrateur de l'Hôtel-Dieu ;
  • Laurent Dugas, président de la Cour des Monnaies ;
  • Camille Falconet, futur médecin consultant de Louis 14 et membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres ;
  • Antoine de Serre, conseiller à la cour des monnaies de Lyon ;
  • Louis de Puget, naturaliste ;
  • Jean de Saint-Bonnet, père jésuite et professeur de mathématiques au collège de la Trinité ;
  • Thomas Bernard Fellon, père jésuite et professeur de grammaire au collège de la Trinité ;
  • Philippe Villemot, curé de la Guillotière et savant cartésien ;
  • Dominique de Colonia, père jésuite, collectionneur et historien ;
  • Charles Cheynet (ou Cheinet), président de la Cour des Monnaies;
  • François Bottu de Saint-Fonds, occupant diverses charges à Lyon et à Villefranche;
  • Jean Brun, père jésuite qui enseigne diverses matières au collège de la Trinité.

Dans une lettre écrite à Nicolas Boileau le , Claude Brossette parle d'une « petite académie » qui se rassemble une fois par semaine [ix] . La première véritable assemblée aurait eu lieu quelques jours plus tôt, le (dit P. Dugas) [n 1] , et les séances se tiennent, comme pour les années suivantes, à tour de rôle au domicile de certains des fondateurs. Cette académie vivote pendant plusieurs années et commence à tenir des registres en 1714. Elle a, dès ses débuts, un « protecteur », le duc François de Neufville de Villeroy.

Vie sous l'ancien régime [modifier | modifier le code]

Entre 1704 et , l'intendant Trudaine réorganise l'Académie, de nouvelles personnalités prennent role aux réunions, tels Nicolas Mahudel et Pierre Aubert.

En 1713, d'autres Lyonnais, conduits par Jean-Pierre Christin, avec Nicolas Bergiron et Ferdinand Delamonce créent une « Académie des beaux-arts » qui deviendra la « Société royale ».

En 1717, l'archevêque François Paul de Neufville de Villeroy met une salle du palais archiépiscopal de Lyon, proche de la cathédrale St Jean, à la disposition de l'Académie des sciences et belles-lettres [9] . Tout au long du XVIII east  siècle, de nombreuses personnalités, comme l'abbé Pernetti, et plus tard le jeune Nicolas François de Neufchâteau rejoignent l'académie.

En , fifty'Académie des beaux-arts ouvre, en plus de sa Société du concert, une nouvelle branche appelée Société des conférences qui devient une véritable académie des sciences, comportant trois classes (mathématiques, physique et arts).

En 1758, la « Société royale des beaux-arts » et l'« Académie des sciences et des belles-lettres » fusionnent sous le nom d'« Académie des sciences, belles-lettres et arts » [eleven] . Grâce au testament de Jean-Pierre Christin, l'Académie lance des concours annuels, dont le premier sera remporté par Jean III Bernoulli, Jeanneret et l'abbé Bossut en 1760. Ces prix ont une longue histoire qui prend de plus en plus d'importance au Xix e  siècle.

En , Pierre Adamoli, grand collectionneur et bibliophile, meurt et lègue sa bibliothèque, ses médailles, des œuvres d'art et une somme d'argent à fifty'Académie. Sa drove est conservée par la bibliothèque municipale de Lyon depuis 1960.

Comme toutes les autres sociétés savantes, elle est dissoute en par la Révolution [12] .

Vie à l'époque contemporaine [modifier | modifier le code]

Médaille de récompense de la fondation Jean Chazière, par Oscar Roty

50'Académie renaît le 24 messidor an VIII (thirteen juillet 1800), par la volonté du préfet Verninac de Saint-Maur, sous le nom d'« Athénée », avant de reprendre son titre dès 1802.

Elle sera reconnue d'utilité publique par ordonnance royale le , puis par décret le .

Fifty'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, sous l'impulsion d'Edmond Reboul, est à l'origine de la Conférence nationale des académies des sciences, lettres et arts, qui, sous l'égide de l'Institut de France, regroupe 28 académies provinciales (aujourd'hui 33).

Les prix créés par l'Académie sur ses fonds propres ou à la suite de diverses fondations se multiplient au cours du 19 e  siècle. Il y a la reconstitution du prix Christin par son héritier de Ruolz en 1818, puis plus d'une trentaine d'autres, soit de caractère intellectuel ou de bienfaisance. Par exemple, en 1879, le lyonnais Jean Chazière (1821-1885) crée la fondation Jean Chazière qui lègue par testament à 50'Académie la somme de 230 000 francs. Avec les revenus de cette somme, l'Académie devait encourager les sciences, l'histoire, la littérature, les beaux-arts, la poésie et l'archéologie et récompenser les actes remarquables de vertu et d'héroïsme.

L'Académie se réunissait en séance privée jusque vers 1970 et n'avait que deux ou trois séances publiques annuelles. Depuis lors, elle donne régulièrement au Palais Saint-Jean de Lyon des conférences auxquelles le public peut assister, en compagnie des académiciens, et décerne toujours des prix scientifiques (Prix Thibaud, prix Platet-Mathieu, prix Chermette Mouratille, prix Arloing-Courmont-Institut Pasteur, prix Ernest-Brasseaux), des prix de bienfaisance (Fonds Rosa) et des prix littéraires (Jeux floraux, actuellement en sommeil) de manière intermittente. Les prix sont proclamés au cours des dernières séances publiques précédant les vacances d'été, c'est-à-dire fin juin et les vacances de Noël, c'est-à-dire en décembre. Les candidats ayant obtenu un prix ou une mention sont informés personnellement par l'académie et invités à la séance de annunciation. Les prix et mentions sont ensuite publiés dans la presse lyonnaise et sur les sites net.

Lieux de fifty'Académie [modifier | modifier le code]

Au cours des premières années, 50'Académie des sciences et belles-lettres northward'avait pas de lieu fixe et due south'est réunie soit chez united nations de ses membres, soit chez l'intendant, soit chez l'archevêque, enfin à fifty'hôtel-de-ville. Fifty'Académie des beaux-arts se fit construire united nations édifice dit « Bâtiment du concert » (démoli en 1858), place des Cordeliers, après les lettres-patentes de 1724. À partir de la fusion en 1758, l'Académie des sciences, belles-lettres et arts, due south'est réunie à fifty'hôtel-de-ville. Pendant la période problem de la Révolution, de l'Empire et de la Restauration, elle oscilla en divers lieux, dont le K collège ou Lycée de Lyon. En 1824, jusqu'à la fin 1974, elle tenait ses séances au Palais Saint-Pierre, actuel musée des Beau-Arts. Depuis le début 1975, elle est située au Palais Saint-Jean, ancien palais archiépiscopal [13] .

Membres notoires [modifier | modifier le code]

Anciens directeurs ou présidents [modifier | modifier le code]

Le terme « directeur » était plutôt employé sous l'Ancien Régime et « président » après la Révolution. Cet officier changeait tous les ans ou même tous les semestres selon les époques. Plusieurs intendants, préfets et maires de Lyon ont rempli cette tâche, même s'ils northward'ont pas toujours été les plus actifs. Parmi les personnages les plus célèbres, citons Jacques-Germain Soufflot (1755), Antoine Michel Perrache (1777), le préfet Raymond de Verninac-Saint-Maur (1800), auteur de l'arrêté de renaissance de fifty'Académie, Paul Sauzet (en 1855, 1859, 1863), président de la chambre des députés, Auguste Isaac (1913), futur ministre, Victor Grignard (1934), prix Nobel de chimie, Édouard Herriot (1950), le fundamental Gerlier (1952) [vi] , le général Édouard Laurent (1969-1970).

Académiciens [modifier | modifier le code]

Plus de 800 académiciens de célébrité très variable se sont succédé sur la période de 1700 à 2016 [fourteen] .

50'on pourra retenir : Pierre Poivre administrateur et botaniste, Jacques-Germain Soufflot architecte, André-Marie Ampère savant, Auguste Lumière inventeur du cinéma, Antoine Michel Perrache auteur du quartier portant son nom, Charles-Henri Tabareau premier directeur provisoire de La Martinière de Lyon, Tony Garnier architecte et urbaniste, Pierre Gerlier Archevêque de Lyon et cardinal, Édouard Herriot maire de Lyon et ministre.

Les académiciens étant, par définition immortels, il est tout à fait exceptionnel de voir certains d'entre eux redevenir mortels par démission. On peut citer en 1755 celles de Jean-Louis Alleon-Dulac, Georges-Claude Goiffon, Jean-Étienne Montucla, Joseph Audra et Bertaud de la Vaure à la suite de l'affaire Tolomas où le père Tolomas aurait insulté en latin le mathématicien D'Alembert qui aurait en retour demandé son exclusion [iii]  ; ainsi que celles des jésuites Laurent Béraud et Jean Dumas à la suite des mesures prises contre leur Ordre en 1764 [15] .

Par ailleurs, Gabriel de Neufville de Villeroy [xvi] , Joseph Mathon de la Cour, Thomas Merle de Castillon, Pierre Antoine Barou du Soleil n'ont pas survécu à la Révolution française, et seront guillotinés en 1793 [17] .

Bibliographie [modifier | modifier le code]

Ouvrages et manufactures [modifier | modifier le code]

  • Louis David (dir.), L'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Lyon, 1700-2000 : Trois siècles d'histoire lyonnaise, Lyon, Éditions Lyonnaises d'Art et d'Histoire, , 477p. (ISBN2-84147-097-0, BNF37114557, lire en ligne) .Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Patrice Béghain, Bruno Benoit, Gérard Corneloup et Bruno Thévenon (coord.), Dictionnaire historique de Lyon, Lyon, Stéphane Bachès, , 1054p. (ISBN9782915266658, BNF42001687) .Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Dominique Saint-Pierre (dir.), Dictionnaire historique des académiciens de Lyon 1700-2016, Lyon, Éditions de fifty'Académie, , 1369p. (ISBN978-2-9559433-0-4, BNF45273860) .Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Francisque Bouillier, «Une Académie de province au XVIIIe siècle - l'Académie de Lyon », Revue des Deux Mondes, no  26,‎ , p. 812-836 (lire en ligne)
  • Pierre Crépel, «Académies et encyclopédies : 50'exemple méconnu d'une académie des sciences à Lyon (1736-1758) », Cahiers d'histoire. Revue d'histoire critique, no  136 « Histoire critique des sciences (Xvieastward-Xviiie siècles) »,‎ , p. 33-fifty (ISBN978-2-917541-67-eight, lire en ligne)
  • Pierre Crépel, « Les débuts de l'Académie en 1700 : qui, quand, où et quoi ? », dans Mémoire de l'Académie des sciences, belles lettres et arts de Lyon - 2020, éd. ASBLA de Lyon, (ISSN0767-8975), p. 169-190 .Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Pierre Crépel, « Les bureaux de l'Académie (1700-2018) », dans Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon pour 2017, ASBLA Lyon, , p. 241-276
  • Joseph-Florentin Bonnel, Histoire de 50'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon de 1840 à 1891 : concours - fondations - personnel, Lyon, A. Rey, imprimeur de l'Académie, , 272p. (lire en ligne)
  • Jean-Baptiste Dumas, Histoire de l'Académie Royale des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, t. I, Lyon, Giberton et Brun, , 536p. (lire en ligne)
  • Jean-Baptiste Dumas, Histoire de fifty'Académie Royale des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, t. II, Lyon, Giberton et Brun, , 645p. (lire en ligne)

Autres sources [modifier | modifier le lawmaking]

  • Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon sur le site du Comité des travaux historiques et scientifiques (CTHS)
  • Compte-rendu des travaux de l'Académie de Lyon (1805-1853) dans Gallica, la bibliothèque numérique de la BnF
  • ASBLA de Lyon, Mémoires de fifty'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, éd. de 50'Académie (présentation en ligne)
  • Christiane de Clavières et Edmond Reboul, Index des mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon : répertoire des auteurs et des thèmes, Lyon,

Notes et références [modifier | modifier le lawmaking]

Notes [modifier | modifier le lawmaking]

  1. Discours de Pierre Dugas "fils" : « Vous y remarquerez comme une circonstance que l'assemblée du 30 mars 1700, regardée comme la première, fut employée à... » [10]

Références [modifier | modifier le code]

  1. «Académie de Lyon », sur www.inter-academies.fr (consulté le ) .
  2. Mémoires de l'Académie de Lyon, sur Gallica.
  3. a et b Dict. Académiciens de Lyon.
  4. Louis David, Trois siècles d'histoire lyonnaise, p. 52-59.
  5. Dict. Académiciens de Lyon, p. 11.
  6. a et b «Accueil : la CNA, présentation générale et statuts », sur world wide web.inter-academies.fr, éd. CNA des sciences, lettres et arts (consulté le ) .
  7. a et b Louis David, Trois siècles d'histoire lyonnaise, p. 15.
  8. a et b Dict. historique de Lyon, p. 20.
  9. a b et c Louis David, Trois siècles d'histoire lyonnaise, p. 16.
  10. Mémoire de fifty'ASBLA de Lyon - 2020, p. 172.
  11. Dict. Académiciens de Lyon, p. 5.
  12. Louis David, Trois siècles d'histoire lyonnaise, p. xx.
  13. Louis David, Trois siècles d'histoire lyonnaise, p. 65-68.
  14. Dict. Académiciens de Lyon, p. vii.
  15. Louis David, Trois siècles d'histoire lyonnaise, p. 71.
  16. Dict. Académiciens de Lyon, p. 1338.
  17. Louis David, Trois siècles d'histoire lyonnaise, p. 27.

Voir aussi [modifier | modifier le code]

Articles connexes [modifier | modifier le lawmaking]

  • Histoire de Lyon
  • Liste de sociétés savantes d'histoire et d'archéologie en French republic
  • Belles-lettres

Liens externes [modifier | modifier le code]

  • Notice sur le site de la Conférence nationale des académies des sciences, lettres et arts

washingtonwhoubson.blogspot.com

Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Acad%C3%A9mie_des_sciences,_belles-lettres_et_arts_de_Lyon

0 Response to "Acadãƒâ©mie Des Sciences Belleslettres Et Arts De Lyon é‡å’ã¦ëœâ€š"

Post a Comment

Iklan Atas Artikel

Iklan Tengah Artikel 1

Iklan Tengah Artikel 2

Iklan Bawah Artikel